La salle s’est transformée en un véritable coin de fête, pour accueillir 124 convives venus célébrer ensemble l’art de vivre périgourdin.
Dés l’arrivée, les papilles ont été mises en éveil par un buffet apéritif généreux et raffiné, élaboré par Christophe notre traiteur.
La soirée s’est poursuivie avec une prestation envoûtante de danseuses folkloriques, parées de costumes traditionnels, Au rythme des bourrées, elles ont transporté l’assemblée au cœur des traditions, rappelant les danses communautaires qui animaient autrefois les veillées périgourdines.
Suivi par le repas avec cuisse de confit de canard, accompagnée de pomme de terre sarladaises dorées à la graisse de canard et parfumées à l’ail et au persil. Le fromage, servi avec une salade fraîche, a apporté une touche de légèreté avant de conclure le dîner par une note sucrée. Le dessert, une viennoise aux fruits exotiques, à séduit les convives par sa fraîcheur et ses saveurs fuitées.
Pour évacuer ce délicieux repas, les convives ont envahi la piste de danse pour une fin de soirée des plus animées. Aux sons de la musique traditionnelle, les pas se sont enchaînés dans une ambiance chaleureuse et festive, fidèle à l’esprit des grandes tablées périgourdines ou l’on célèbre la vie autour de la danse et du partage.
Opéra Garnier
Souvenirs, souvenirs
Nous nous souvenons du feuilleton "l'âge heureux" en 1966, où on voyait les petits rats de l'opéra courir sur les toits de l'Opéra" ce qui réjouissaient nos soirées !
Ce monument commandé en 1875 par Napoléon III dédié à l'art lyrique porte le nom de son architecte Charles Garnier. Il a été édifié pendant la grande période Haussmannienne.
Le style extérieur très riche laisse imaginer la magnificence de l'intérieur. L'escalier monumental est splendide, le hall d'entrée somptueux. Que ce soit du sol au plafond toutes les décorations, les statues, les peintures, restent dans la finesse. Tous les matériaux nobles sont utilisés que ce soit sur les murs ou les plafonds.
L'opulence de cet édifice correspondait à cette époque 2ème empire où l'aisance de la belle société voulait voir et être vue.
Changement d'époque, un siècle plus tard... les mœurs ne sont plus les mêmes.
L'opéra Bastille
Cet imposant édifice d’une architecture contemporaine et d'une sobriété moderne a été commandé par F. Mitterrand en 1989, en lieu et place d'une gare qui n'est plus utile. Mais l'idée originale est de Charles de Gaulle qui avait confié à André Malraux, l'étude d'un Opéra culturel, qui se différencierait de Garnier, devenu désuet, pour toucher une population plus large et populaire.
Il fût créé pour être à la pointe de toutes les technologies modernes alliant le métal et le verre. Il abrite tous les ateliers utiles pour l'élaboration de tous les spectacles s'y produisant.
Une salle pouvant accueillir 2700 spectateurs avec des décors se succédant d'un spectacle à l'autre. La machinerie de tout cet ensemble est la plus importante au monde.
Son architecte, Carlos Ott, a reproduit cet édifice partout dans le monde, mais jamais dans cette ampleur.
Ces 2 opéras de conception différente, répondent chacun à des besoins spécifiques, font partis d'un même groupe et emploient 2600 personnes au total.
En Avril 2024, notre moulin perdait ses ailes.... Mais 3 mois plus tard il retrouvait sa dignité.
Notre célèbre Moulin Rouge a été fondé au XIXème siècle sous la présidence de Félix Faure.
C'est un Music-Hall où 60 artistes évoluent.
Les plumes, les paillettes, les costumes flamboyants et lumineux, les différents numéros de grande qualité, tout y est, sans oublier notre cancan qui était un moyen de contester l'ordre établi précédemment. La fougue et le dynamisme des danseurs en sont l'image.
C'est l'époque où chacun peut s'exprimer que ce soit par la littérature, la peinture (Toulouse Lautrec) et la légèreté des mœurs. On prépare l'exposition Universelle.
Le spectacle est féerique, les différents numéros sont fabuleux les décors sont somptueux, les tableaux sublimes et les costumes sont merveilleux. L'ensemble orchestré dans une joyeuse dynamique très bien synchronisée.
Un grand merci au Syndicat pour nous avoir organisé cette jolie sortie. La facilité de partir tous ensemble en bus du départ au retour à Roissy. La chaude ambiance est déjà dans le bus. L'insouciance, associée à la facilité "ne rien faire... tout est déjà prévu" il n'y a qu'à se laisser porter ! Et ce laxisme convient à tout à chacun.
Lors de l’Assemblée Générale, 153 personnes étaient présentes. Tout s’est très bien déroulé, et le compte rendu a été présenté en détail, sans aucune remarque ni intervention de la part des participants.
Monsieur le maire nous a honorés de sa visite et a adressé des compliments au Syndicat d’Initiative.
Nous avions organisé un grand buffet campagnard qui a ravi tout le monde, mais les participants n’ont pas été très raisonnables, et nous avons manqué de pain.
A part cela, tout s’est bien passé, et apprès avoir tout rangé et fait le ménage, nous avons terminé vers 22h30.
Un grand merci à toutes et à tous pour votre participation à cet événement, qui témoigne de la vitalité du Syndicat.
Retrouvez le compte rendu complet sur la page regroupant les Assemblées Générales.
L'Exposition Universelle de 1900 nous a légué un patrimoine de splendeurs dont la gare d'Orsay.
"Cette gare est superbe et a l'air d'un palais des beaux arts" écrivait le peintre Édouard Détaillé en 1900. Et en effet 86 ans après sa prophétie est vérifiée.
C'est sous la présidence de Giscard d'Estaing que la gare est devenue Musée afin d'y exposer les œuvres du XIXème siècle.
A l'origine cette gare devait desservir le réseau Sud Ouest permettant l'arrivée des voyageurs non loin des principaux sites de L'Exposition Universelle d'où le symbole PO (Paris Orléans) au fronton du monument.
Mise à part la splendeur de son architecture nous sommes surpris par la décoration intérieure étudiée pour atténuer le bruit dû au grand nombre de visiteurs fréquentant cet établissement.
C'est toujours avec enthousiasme que la sortie "Musée d'Orsay" est accueillie par nos adhérents.
Cette fois ci Béatrice nous a entraîné dans sa passion pour la peinture des impressionnistes, négligée à l'origine mais mise en lumière en 1874 sans négliger les 1200 sculptures qui en 1986, sous la présidence de François Mitterrand, firent leurs entrées donnant à ce musée une nouvelle orientation.
Les détails de chaque tableau ou sculpture devant lesquels nous entraîne Béatrice, nous éclairent sur chaque œuvre et rend cette promenade artistique passionnante.
Nous sommes donc accueillis dans ce musée par la célèbre œuvre de Bartholdi, notre statue de la liberté mille fois reproduite mais toujours emblème de Liberté.